Hellrick Scrakovitch [HS \0/ //PAN////PAN//]

Appearances can be deceiving...

Cheveux en bataille, un air de clochard. Et ça se dit du gouvernement ?
Ses cheveux d’un noir intense ne sont jamais coiffés. Disons qu’ils le sont moins souvent que les fois où il parle. C’est pour dire !
Des yeux bleus marines pour observer. Car à défaut de parler, il observe. Et écoute.
Son allure presque invisible lui permet de s’incruster. Voir. Ecouter. Retenir. Et avoir des choses sur lesquels méditer.
Il arrive, repart sans que l’on ne le remarque.
Il n’est qu’une ombre.
Grand, fin, simple, des pas légers ne le trahissant jamais. On ne le remarque pas au premier abord, sauf s’il souhaite se faire remarquer, et dans ce cas, mieux vaut se méfier.

Once upon a time...

Hellrick, Hellrick, Hellrick … c’est une vie de solitude sans l’être vraiment. Une vie de mutisme sans réellement. Une enfance passée avec son père qui lui apprenait comment tuer. Son père savait qu’il mourrait jeune. Tout comme sa mère. Ils détestaient la vieillesse et prévoyait de se suicider s’il vivait trop longtemps. Ce qu’ils firent.
Ses parents préparèrent alors leurs enfants pour vivre la plupart de leur vie seuls. Ceux-ci ne cherchèrent même pas d’explications, pour eux, c’était normal. Ils prévoyaient aussi de se suicider entre frère et sœur. Mais ils changèrent d’avis quand ils apprirent que non, tout le monde ne fait pas ça. Ils choisirent alors de vivre. Car lorsqu’on leur demanda leur avis, Hellrick était dans un état assez fataliste. Il leur répondit juste « Bah, pourquoi se tuer ? Si la vie est là, si l’on ne meurt pas tout de suite, il y forcement une raison » Des mots qu’il ne pensait pas. Mourir ou pas, quelle importance ?
Mis à part apprendre à devenir adulte pour ses 15 ans, il cachait non sans mal le fait qu’il voyait des gens inexistants. Lorsqu’il ne parlait qu’en cas de nécessité, il était simple de ne pas sortir un jour par mégarde « Oh d’ailleurs. Connaissez-vous untel ? Non ? Mais, il est juste là ! » Pour inquiéter ses parents. De ce fait, personne à part sa sœur ne savait. Mais elle se taisait.
Pas d’amis, à quoi ça sert ?
Plus vraiment de famille, et alors ?
Aucun rêve, aucun désir, aucun but.
Ce dernier point et plus difficile. Si un jour vous venez à lui parler, ne lui faite pas remarquer ! Il vous massacrerait. Un rêve ? Il n’en a pas. Mais en voudrait bien un.de même pour des envies, plus de caprices, ou un but. Il voudrait. Pour se sentir plus humain.
Alors si cette ombre si impartial venait un jour à s’isoler réellement, se serait pour cause de crise dû à ce manque. Crises qu’il apprit à contrôler. Mais enfant, elles étaient assez fréquentes.

More of me...

Scrakovtich. Ou comment être un salopard et un gentleman en un coup. Ou comment servir à merveille et se faire haïr d’un simple sourire. Ou comment se faire désirer puis repousser. Ou comment contrôler d’un claquement de doigt.
Un Scrakovitch dans toute sa splendeur.
Généralement d’un fort mutisme, une solitude ancrée. Seule sa sœur peu espérer entendre sa voix une fois tous les deux jours, au mieux ! Les rares fois où ses lèvres se décollent sont pour se désister au dernier moment où pour faire de vous une victime d’un de ces deux divertissements. Soit vous mourrez, soit vous désirez la sienne. Parfois pas à ce point là, mais ce qu’il est mesquin lorsqu’il s’ennui.
Et avant ? Etait-il si indéchiffrable ? Etait-il si imperturbable ? Etait-il si mystérieux, si renfermé et si méprisable ?
Le pire est lorsqu’il joue au fataliste. « Ah ? Il t’arrive ça ? Bah, de toute manière tu mourras au final » ; « Tu te plains ? Mais de quoi ? Si c’est le destin à quoi bon ? » Lorsqu’il joue, vu pourrez entendre de lui plusieurs phrases à la suite et pourrez tenter d’avoir un dialogue proprement dit.
Si un jour il viendrait à vous être sympathique, à chercher une confiance, mieux vaut ne pas tomber dans ce piège. Juste un conseil.
Mais autres que sa sœur et les victimes de son amusement, on peut dire que d’autres personnes entendent sa voix. Comme s’il la réservait à ces personnes là. Comme si elles, elles daignaient plus d’intérêt. Et ces personnes c’est bien simples, elles sortent de son imagination. Vous apercevez une ombre au loin en train de parler seule ? C’est lui. Qui parle avec toutes ces personnes imaginaires qu’il croit si réelles.
Oh il en s’agit pas d’une ou deux, non, c’est tout un monde. Il imagine des passants, tout comme il imagine des gens plus proches.
Hellrick. Ombre constante sur un monde inexistant.

Un peu sur vous.

Un pseudo/surnom ? Fruix pis … j’en sais rien
Comment avez-vous connu le forum ? haha //PAN////PAN//
Une remarque ? Pourquoi, pourquoi, pourquoi, toutes ces phrases en anglais ? >.<
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